Votre psychologue à Valbonne réalise un bilan neuropsychologique pour seniors, adultes et enfants à partir de 6 ans.
Difficultés scolaires, troubles cognitifs ? Je vous aide à mettre en place des stratégies de compensation après un bilan neuropsychologique près d’Opio.
Pourquoi faire un bilan neuropsychologique ?
Le bilan neuropsychologique que je vous propose de réaliser au cabinet permet de comprendre l’origine et nature des difficultés éprouvées. Points forts et points d’effort sont identifiés afin de pouvoir mettre en place des stratégies de compensation, c’est-à-dire des solutions pour diminuer les difficultés ressenties.
Un bilan se déroule en 3 grandes étapes qui nécessitent chacune un rendez-vous :
Anamnèse
le patient raconte son histoire et les motivations de la consultation
Réalisation des épreuves du bilan
Entretien de restitution et compte rendu écrit des résultats
Les épreuves sont choisies en fonction des informations recueillies lors de l’anamnèse et peuvent prendre entre 1 et 4 heures.
Quand envisager un bilan pour les enfants ?
Dès lors que votre enfant rencontre des difficultés à l’école, semble avoir du mal à se concentrer, à apprendre ou à mémoriser, s’il est précoce ou présente une déficience intellectuelle, s’il a du mal à socialiser, une consultation pour enfant ou pour adolescents peut s’avérer utile afin de lui fournir des outils qui l’aideront à mieux vivre avec ses spécificités. Plusieurs types de bilan sont alors proposés.
Psychométrique
Psychométrique (QI), à partir de tests standardisés (WISC V, WAIS IV)
Attentionnel
Adapté
Complet
En fonction des résultats obtenus et des suites que vous souhaitez donner au bilan, je vous propose des séances de remédiation cognitive.
Le bilan neuropsychologique pour les adultes et seniors
Chez les adultes, le bilan neuropsychologique permet de dépister de nombreux troubles cognitifs, tels que des pertes de mémoire, des difficultés de langage ou d’attention, ou des problèmes rencontrés dans les fonctions exécutives. Ces troubles peuvent être remarqués par la personne elle-même mais c’est souvent l’entourage qui s’en rend compte. J’aide alors les patients à adopter des stratégies de compensation et à stimuler leurs fonctions cognitives.